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Acteur majeur au Maroc depuis plus de 50 ans, Siemens présentera la Tournée des Villes Durables au cours d’une étape inédite à Casablanca le 30 mai prochain. Démarré l’an passé à Johannesburg, ayant parcouru les plus grandes villes du monde dont Hambourg, Londres, New York et Beijing, c’est la première fois que cette manifestation d’envergure s’arrête en Afrique du Nord.

Sous le thème « Bâtir des villes pour y construire un avenir durable », l’événement illustrera les solutions imaginées par Siemens pour favoriser le développement durable de l’infrastructure urbaine. Au programme, une exposition proposera des animations avec des contenus interactifs sur supports numériques. Les visiteurs pourront notamment découvrir un quiz sur écrans tactiles et apprendre où se trouvent les villes les plus vertes en Afrique grâce à des critères comme les émissions de CO2, la consommation d’eau, etc.

Temps fort de la journée, une conférence « Villes Durables » regroupera des professionnels,
des représentants des collectivités locales, des investisseurs et des universitaires en provenance du Maroc et d’Europe. Objectif : offrir aux intervenants des secteurs public et privé la possibilité de discuter des défis qui attendent les agglomérations marocaines.

Avec la Tournée des Villes Durables, Siemens entend soutenir le développement de l’économie marocaine en proposant aux décideurs des solutions qui contribuent à rendre les villes plus durables, plus viables et plus prospères. Ce mouvement ne pourra voir le jour qu’à travers l’engagement du gouvernement marocain, de la société civile, des acteurs privé et des agences internationales comme la Deutsche Gesellschaft für Internationale Zusammenarbeit (GIZ) avec laquelle Siemens souhaite coopérer.

Pour relever ces défis sociaux et environnementaux, les gouvernements et le secteur privé doivent investir massivement dans les infrastructures. Avec son expertise unique, ses technologies de pointe et ses solutions adaptées, Siemens vient en aide aux décideurset soutient le développement des infrastructures durables en Afrique.

En s’arrêtant dans différentes villes, la Tournée des Villes Durables favorise la rencontre et encourage la discussion sur tous les sujets : traitement de l’eau, approvisionnement énergétique, réseau électrique, transport vert, soins de santé, productivité industrielle, etc.

Siemens espère ainsi mettre en lumière les principaux défis auxquels les agglomérations du contient africain sont confrontées.

Casablanca, l’une des villes les plus vertes d’Afrique du Nord :

En publiant l’an passé son Index des villes vertes en Afrique, une étude menée par l’Economist Intelligence Unit, un organisme de recherche indépendant, Siemens a montré que les agglomérations d’Afrique du Nord et du Sud sont les plus vertes du continent.

Pour la première fois, cette étude a examiné les performances environnementales de villes africaines dans huit domaines: énergie et CO2, utilisation des sols, transports, déchets, eau, assainissement, qualité de l’air et politiques environnementales. Après avoir passé au crible 15 grandes villes dans 11 pays d’Afrique, les meilleures élèves sont Le Cap, Durban et Johannesburg au sud, Casablanca et Tunis au nord.

« L’objectif de l’Index des villes vertes en Afrique consiste à mieux identifier les forces et les faiblesses de chaque ville et à entamer un dialogue sur les meilleures pratiques à adopter dans le domaine des politiques et des infrastructures vertes, a déclaré Siegmar Proebstl, PDG Siemens Afrique. Grâce à son portefeuille environnemental et son nouveau secteur Infrastructure & Cities, Siemens est dans la meilleure position pour aider les zones urbaines d’Afrique en leur proposant des infrastructures vertes ».

Avec plus de 150 ans d’expérience en Afrique dont 56 ans au Maroc, Siemens a fait du continent africain une de ses préoccupations majeures en dédiant à ce territoire une part importante de sa stratégie. C’est pourquoi Siemens évolue continuellement et adapte son expertise pour satisfaire les demandes de ses clients en économies émergentes.

Le développement durable, priorité pour l’Afrique et le Maroc :

Plus de la moitié de la population mondiale vit en zones urbaines. A elles seules, ces zones produisent plus de 70 % des émissions de gaz à effet de serre et consomment près des deux tiers de l’énergie consommée au monde. En Afrique, les citadins avoisinent 40 % de la population et font de ce continent le moins urbanisé au monde.

Mais l’Afrique change plus rapidement que les autres continents. D’ici 10 ans, elle comptera le plus grand nombre de citadins au monde après l’Asie, près de 760 millions.

Au Maroc, où le taux d’urbanisation est supérieur à celui de la moyenne mondiale, les citadins avoisineront 72 % de la population en 2060.

Le corollaire de ce phénomène : l’expansion des villes et la création de nouvelles agglomérations. Une telle évolution est un challenge et la nécessité de mettre en place des infrastructures durables s’accentue chaque jour davantage. C’est pourquoi Siemens aide les villes et les collectivités à mieux gérer leur expansion et leur apporte des solutions urbaines adaptées pour des infrastructures intelligentes.

Croissance et environnement, un défi majeur :

Moteurs de la croissance en Afrique du Nord, les centres urbains comme Casablanca, Alger et Tunis représentent à eux seuls 75 % de l’énergie consommée, 60 % de la consommation d’eau et 80 % des gaz à effet de serre dans la région. Le principal défi consiste donc à organiser la vie urbaine de manière à soutenir la croissance sans pour autant nuire à l’environnement.

Les étapes de la Tournée des Villes Durables :

Johannesburg, 14 - 15 novembre 2011
Le Cap, 18 - 19 novembre 2011
Durban, 28 novembre - 9 décembre 2011
Casablanca, 30 mai 2012
Alger, 13 juin 2012
Tunis, 26 juin 2012
Lagos, 30 juin 2012
Luanda, juillet 2012
Nairobi, août 2012
Accra, septembre 2012
Le Caire, octobre 2012

« Faire découvrir une expérience innovante et unique au monde aux enfants malades soignés au service d’hématologie et d’oncologie pédiatrique du CHU Ibn Rochd de Casablanca ». C’est de cette volonté qu’est née l’idée d’organiser au profit de ces enfants une excursion de découverte de l'avion expérimental solaire suisse Solar Impulse lors de son passage au Maroc et qui réalise son premier vol intercontinental.

Prévue le 10 juin 2012, cette initiative de l’association Agir et des laboratoires Roche a pour objectif d’apporter le sourire et la joie à ces enfants afin qu’ils puissent vivre normalement durant leurs traitements.

« Les enfants vont avoir la possibilité de s’évader de leur environnement médicalisé habituel et découvrir cet avion extraordinaire. Une équipe médicale et paramédicale encadrera cette sortie afin d’assurer tout le confort nécessaire aux enfants », affirme à cette occasion le Pr Saïd Benchekroun, Président d’Agir et chef du service d’hématologie Oncologie pédiatrique à l’hôpital 20 Août de Casablanca.

Pour le Dr Sami Zerelli Directeur Général de Roche en Afrique du Nord et de l’Ouest « Solar Impulse est le Futur qui vient à nous aujourd’hui. Il représente l’espoir en un avenir meilleur pour nos enfants. L’innovation de cet avion et les symboles qu’il apporte sont similaires à notre engagement pour trouver des solutions thérapeutiques innovantes pour des maladies qui n’avaient pas de solutions à ce jour notamment dans le domaine des thérapies personnalisées ».

Des activités divertissantes et récréatives sont prévues au programme de cette sortie. Tout en partageant un déjeuner et un goûter, les enfants malades seront accueillis par Son Excellence M. Bertrand Louis, Ambassadeur de Suisse au Maroc, avant d’effectuer une visite guidée qui comprendra la visite du site et de ses ateliers, la présentation de l’avion par les deux pilotes Bertrand Piccard André Borschberg suivie d’une séance photo avec les enfants.

La Fondation Centrale Laitière pour la Nutrition de l’Enfant a également contribué à cette journée en offrant à chaque enfant un sac isotherme contenant une collation à base de yaourts à boire ainsi que de l’eau Aïn Saïss.

Depuis sa création en décembre 1983, l’association « AGIR » de soutien aux malades du sang et aux enfants atteints de cancer ne cesse d’œuvrer pour aider et soutenir sur le plan à la fois médical, psychologique et social, les personnes atteintes de maladies du sang


A propos de Roche
Roche, dont le siège est à Bâle, Suisse, figure parmi les leaders de l’industrie pharmaceutique et diagnostique axée sur la recherche. Numéro un mondial de la biotechnologie, Roche produit des médicaments réellement différenciés pour le traitement du cancer, des maladies virales et inflammatoires ainsi que des maladies du métabolisme et du système nerveux central. Roche est aussi le leader mondial du diagnostic in vitro ainsi que du diagnostic histologique du cancer, et une entreprise pionnière dans la gestion du diabète. Sa stratégie des soins personnalisés vise à mettre à disposition des médicaments et des outils diagnostiques permettant d’améliorer de façon tangible la santé ainsi que la qualité et la durée de vie des patients. En 2008, Roche, qui comptait plus de 80 000 employés dans le monde, a consacré à la R&D près de 9 milliards de francs. Son chiffre d’affaires s’est élevé à 45,6 milliards de francs. Genentech, Etats-Unis, appartient entièrement au groupe Roche, qui détient en outre une participation majoritaire au capital de Chugai Pharmaceutical, Japon. Pour de plus amples informations, consulter le www.roche.com.

• L’Agence Européenne du Médicament (EMA) attribue à l’ivabradine une nouvelle indication dans le traitement de l’insuffisance cardiaque.

• Environ 26% en moins d’hospitalisations pour aggravation d’insuffisance cardiaque et 26 % en moins de décès liés à cette maladie, tels sont les principaux résultats de l’étude internationale SHIFT menée avec l’ivabradine.

• Pour le Pr Ahmed Bennis, cardiologue et membre de la Société Marocaine de Cardiologie, ce médicament permet le contrôle thérapeutique de cette maladie redoutable mais encore méconnue.


Tout comme de nombreuses maladies chroniques tels que l’hypertension artérielle ou le diabète, l’insuffisance cardiaque pose un problème de santé publique au Maroc comme ailleurs. Les efforts des chercheurs ont abouti récemment à une nouveauté thérapeutique. L’Agence Européenne du Médicament (EMA) vient en effet d’attribuer à l’ivabradine une nouvelle indication dans le traitement de l’insuffisance cardiaque, en association avec le traitement standard.

« Cet élargissement du champ d’application de l’ivabradine constitue une importante nouveauté thérapeutique dans la mesure où il a été prouvé que ce médicament agit en diminuant uniquement la fréquence cardiaque (le pouls) sans abaisser la tension artérielle du malade, contrairement aux autres médicaments conventionnels. » affirme à ce propos le Pr Ahmed Bennis, cardiologue et membre de la Société Marocaine de Cardiologie.

En effet, les résultats de l’étude internationale SHIFT (Systolic Heart Failure Treatment with the If Inhibitor Ivabradine Trial) démontrent que l’ivabradine permet une réduction significative à la fois de la survenue d’un premier événement cardiaque (-18 %), du risque de décès par insuffisance cardiaque (-26 %), ainsi que du risque d’hospitalisation pour aggravation de l’insuffisance cardiaque (-26 %). Les conclusions de cette étude rapportent également une bonne tolérance du produit.

«L’ivabradine s'impose actuellement en tant que médicament prometteur dans le traitement de l’insuffisance cardiaque. Au Maroc, cette nouvelle indication sera pour les médecins spécialistes, synonyme de nouvel espoir dans l’amélioration à la fois de la prise en charge de ce problème de santé publique, et de l’amélioration de la qualité de vie des malades qui en sont atteints. » conclut le Pr Ahmed Bennis.



A propos de l’étude Shift
L’étude internationale Shift qui a duré environ deux ans, est la plus grande étude jamais réalisée sur l’insuffisance cardiaque. Conduite dans 37 pays, elle a porté sur 6558 patients Résultats : on a recensé 26 % en moins de décès liés à l’insuffisance cardiaque dans le groupe ayant reçu l’ivabradine, ainsi qu’environ 26 % en moins d’hospitalisations pour aggravation d’insuffisance cardiaque. La tolérance de cette molécule s’est révélée très bonne. Seul effet secondaire : 3 % des patients ont été gênés transitoirement par de petits éclairs lumineux.
Ces résultats démontrent le bénéfice de l’ivabradine, en sus du traitement usuel, et confirment que chez les patients ayant une insuffisance cardiaque, la fréquence cardiaque est un facteur de risque important dont la réduction permet de diminuer le risque d’aggravation de la maladie.


A propos de l’ivabradine
Selon l'EMA, l'ivabradine (molécule issue de la recherche Servier) est adaptée aux patients présentant une insuffisance cardiaque chronique. Cette approbation est venue suite à la réalisation de plusieurs analyses des différents essais cliniques publiés dans le Lancet. Ces études ont révélé que l’'ivabradine ralentit le rythme cardiaque. L’action de l’ivabradine permet d’avoir un effet protecteur sur le cœur, et de permettre au cœur de pomper plus efficacement à un rythme plus lent. Cette action conduit également à une réduction significative de la mortalité et des hospitalisations. A noter qu'en cas d'insuffisance cardiaque, le cœur est incapable de pomper suffisamment de sang et la maladie entraîne toute une gamme de symptômes tels que la fatigue et l'essoufflement et peut entrainer le décès.


A propos de l’insuffisance cardiaque
Epidémie du siècle, l’insuffisance cardiaque se définit par une incapacité du cœur à pomper suffisamment de sang pour répondre aux besoins de l’organisme, se traduisant entre autres, par un essoufflement et une fatigue disproportionnés par rapport à l’effort produit.
Tout comme de nombreuses maladies chroniques tels que l’hypertension artérielle et le diabète, l’insuffisance cardiaque pose un problème de santé publique au Maroc, et le pronostic de la maladie demeure très grave en raison du taux élevé de complications et de mortalité.
Malgré l’absence d’études épidémiologiques, le croisement de différentes données montre que la mortalité des patients ayant une insuffisance cardiaque apparaît au moins 2 à 3 fois plus élevée que celle de la population générale de même âge. Cette mortalité est, supérieure à celle de nombreux cancers.

MEDI1TV vient de conclure un partenariat exclusif avec Moroccan Talent Agency, société mandatée par le club FC Barcelone et détentrice des droits de diffusion du match.
La chaîne acquiert ainsi et en exclusivité les droits de retransmission et diffusera en direct de Tanger, le match que jouera l’équipe du FC Barcelone contre une sélection de joueurs nationaux. Un hommage à Abdelmajid Dolmi, l’ex-international marocain, sera rendu à l’occasion de ce match.
A travers cet accord, MEDI1TV confirme sa promesse de fêter le sport et de partager, avec les téléspectateurs marocains et maghrébins, les grands événements sportifs dont l’accès est en général réservé aux grandes chaînes étrangères.
En plus de la retransmission, en direct, du match, la chaîne et l’équipe de la rédaction des sports, met en place une couverture et une animation spéciales, pour faire vivre de près cet événement de taille aux téléspectateurs marocains et maghrébins, tous de grands fans du FC Barcelone. 
Ce match signe aussi le  retour au Maroc du FC Barcelone, trente-huit ans après le match amical joué avec le Wydad à Casablanca, et ce pour le plus grand bonheur des supporters marocains du club catalan.
Cette couverture se déclinera par un dispositif intégrant l’antenne et les plateformes web de la chaîne, afin de célébrer cet événement et de permettre aux téléspectateurs et internautes de partager leur passion du football.
Des reportages sur les coulisses de la préparation du match et de l’entraînement des équipes nationale et catalane, des interviews avec les joueurs, un plateau débat pour la retransmission du match et l’analyse de son déroulement…le programme sera riche en contenu.
Quant au web, la chaîne y mettra à disposition des internautes un mini site dédié qui suivra la mise en place de l’événement, en vidéo et en photos, et recueillera les réactions, commentaires  et pronostics des supporters.

Suite à la déclaration communale de sinistre par l’Etat, MAMDA a déployé son processus d’indemnisation des agriculteurs ayant souscrit à l’assurance Multirisque Climatique dans les régions sinistrées.

Dès réception de la déclaration de sinistre, et conformément à la Convention de partenariat signée en août 2011 entre l’Etat et MAMDA pour la commercialisation de l’assurance Multirisque Climatique, des experts Spécialisés dans l’assurance agricole ont été mandatés par MAMDA pour expertiser les parcelles assurées dans les communes sinistrées.

Toute une logistique a été déployée pour la réalisation d'une telle opération, surtout lorsque les expertises doivent s’opérer dans des zones au relief accidenté ou sur des exploitations quasi inaccessibles.

A ce jour, le processus d’indemnisation a démarré pour les régions de Souss-Massa-Draa et de Guelmim-Smara où les chèques seront remis aux agriculteurs dans les agences Mamda de la région du Souss.

Pour les autres régions les expertises sont quasiment finalisées et les indemnisations seront réalisées au cours du mois de juin pour permettre aux agriculteurs d’entamer dans de bonnes conditions la campagne 2012 2013.

A propos de MAMDA, l’assureur de l’agriculteur

Créée en 1963, fruit du regroupement de caisses régionales ayant existé dès 1920, MAMDA, Mutuelle Agricole Marocaine D’Assurances, est la première société mutuelle d’assurances agricoles au Maroc. Elle compte six groupements régionaux et opère depuis plus de quarante ans pour sécuriser les agriculteurs du royaume.

En veillant en permanence à défendre les intérêts de ses sociétaires, MAMDA leur fournit aujourd’hui des produits variés, adaptés et innovants, assurant une qualité de service et de conseil optimales.

Les produits d’assurance MAMDA, homologués auprès de la Direction des Assurances et de la Prévoyance Sociale (DAPS), couvrent l’ensemble du secteur agricole : l’agriculteur, son exploitation, ses récoltes, son matériel.

MAMDA met à la disposition de plus de 100 000 sociétaires une gamme de produits d’assurances aussi large que diversifiée. Ainsi, la mutuelle agricole couvre les risques suivants :

* Maladie-hospitalisation (Istichfaa Al Fallah)
* Individuelle Accident Agricole
* Responsabilité Civile Agricole
* Assurance Automobile (Amane Auto MAMDA)
* Incendie Exploitation Agricole
* Incendie Pailles et fourrages
* Incendie Récoltes sur pied
* Incendie Explosion
* Mortalité de Bétail
* Grêle

MAMDA a en outre géré pour le compte de l’Etat le Programme de garantie des céréales contre les effets de la sécheresse.

L’expertise de MAMDA étant entièrement tournée vers la sécurité des agriculteurs face aux conséquences, souvent dramatiques, de phénomènes climatiques extrêmes, elle a mis en place, en collaboration avec les Ministères de l’Agriculture et des Finances, une assurance Multirisque Climatique, et ce pour l’année agricole 2011-2012.
 
A propos de l’Assurance Multirisque Climatique

L’agriculture est un des principaux moteurs de croissance de l’économie nationale, avec des impacts colossaux en termes de croissance du PIB, de création d’emplois, d’exportation et de lutte contre la pauvreté. C’est dans ce cadre qu’a été lancé le Plan Maroc Vert, visant à mettre en place une nouvelle stratégie agricole, permettant d’imprimer au secteur une dynamique d'évolution harmonieuse, équilibrée et évolutive qui tienne compte de ses spécificités.

Ainsi, parmi les diverses actions entreprises, l’Etat a mené une réflexion stratégique pour la mise en place d’un système d’assurance agricole permettant de réduire la vulnérabilité des petits agriculteurs face aux aléas climatiques, et de sécuriser et promouvoir l’investissement agricole au Maroc.

En effet, l’agriculture doit depuis toujours composer avec les aléas climatiques. Le risque climatique est de fait partie intégrante de ce secteur, et les perturbations engendrées deviennent vite lourdes à gérer…

S’appuyant sur l’expertise de MAMDA dans le domaine de l’assurance agricole, l’Etat a signé une convention avec la mutuelle, en août 2011, visant à mieux protéger les agriculteurs contre les risques climatiques.

L’assurance Multirisque Climatique commercialisée par MAMDA concerne les cultures céréalières (blé tendre, blé dur, mais et orge) et légumineuses (fèves, lentilles, petits pois, pois chiches, haricots) sur l’ensemble du territoire marocain et couvre contre les risques climatiques suivants : sécheresse, excès d’eau, grêle, gel, vents violents, vents de sable.

Afin de rendre ce produit accessible à l’ensemble des agriculteurs, l’Assurance Multirisque
Climatique bénéficie d'une subvention à la prime de l'Etat comprise entre 53% et 90%, en fonction du niveau de garantie retenu. Ainsi, le petit agriculteur pourra bénéficier d’un capital garanti à hauteur de 1 450 dirhams pour une cotisation de 26 dirhams / hectare seulement. Pour les niveaux de garantie supérieurs, les montants de cotisation se situeront entre 183 et 368 dirhams / hectare.

La convention signée prévoit une superficie assurée de 300 000 hectares dès la campagne 2011-2012, avec un objectif prévisionnel de 1 000 000 hectares à l’horizon 2015.

Les souscriptions pour cette première campagne ont vu l’objectif de 300 000 hectares dépassé, avec plus de 20 000 agriculteurs assurés, les cultures concernées étant majoritairement céréalières.

A l’occasion de la 11e Journée mondiale du lait qui se tiendra le vendredi 1er juin, Tetra Pak sensibilise les familles marocaines aux bénéfices des produits laitiers et les encourage à penser différemment leurs habitudes de consommation.

Lancée en 2001 sous l’impulsion de l’Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), la Journée mondiale du lait a lieu chaque 1er juin dans le but de célébrer l’or blanc sous tous ses aspects : intérêt nutritionnel, importance dans l’économie locale, production, consommation, organisation de l’industrie et de la filière laitière, etc.

A cet effet, le leader mondial des solutions de traitement et de conditionnement de produits alimentaires diffuse la 5e édition du Tetra Pak Dairy Index. Réalisé deux fois par an, ce rapport est une présentation didactique sur l’importance de la consommation des produits laitiers pour une alimentation saine et nutritive. A destination du grand public, il recense les principales tendances et données chiffrées de l’industrie laitière mondiale.

Parmi les informations majeures de l’étude, Tetra Pak identifie un potentiel de 2,7 milliards de consommateurs dans les pays en développement, une population que l’entreprise considère comme un futur levier de croissance pour l’industrie laitière. Résultat : le volume de produits laitiers consommé par ces populations devrait passer de 70 milliards de litres en 2011 à 80 milliards en 2014, soit une hausse de 14 %. Quant au marché mondial, le Tetra Pak Dairy Index estime qu’il devrait enregistrer un taux de croissance annuel composé de 2,9 % entre 2011 et 2014, contre 2,5 % entre 2008 et 2011.

« Les consommateurs à faibles revenus sont l’une des plus importantes opportunités de croissance du secteur laitier, précise M. Thomas Adner, Directeur Général de Tetra Pak. Ils représentent près de 40 % de la population mondiale. Fournir des produits laitiers abordables, sains et nutritifs à ces consommateurs n’est pas seulement une opportunité commerciale. C’est aussi la chance de transformer des vies en rendant accessible une alimentation saine à une nouvelle génération de consommateurs émergents. »

Particulièrement concerné, le Maroc verrait sa consommation passer de 945 millions de litres de lait en 2011 à 1,05 milliard en 2014, soit une augmentation de 10,5 %. Autre tendance relevée par le Tetra Pak Dairy Index : à mesure que leurs richesses augmenteront, les consommateurs à faibles revenus des pays émergents délaisseront la consommation du lait en vrac au profit du lait emballé.

Ce phénomène est déjà largement présent au Maroc, où la consommation de lait en vrac représente à peine 8,7 % de la consommation totale des produits laitiers liquides. D’ici 2014, le Tetra Pak Dairy Index estime que celle-ci atteindra péniblement les 6 %. A contrario, la consommation de lait UHT ne va cesser d’augmenter passant de 157 millions de litre en 2011 à 224 millions en 2014, soit une croissance de 70 %. Quant à la consommation de lait en poudre, confrontée à l’augmentation de la consommation de lait pasteurisé et UHT, sa part devrait rester stable d’ici 2014.

Autre réalité mise en lumière par le Tetra Pak Dairy Index, la consommation des types de lait varie fortement selon la catégorie socioprofessionnelle des consommateurs marocains. Si la majorité des CSP privilégient le lait pasteurisé (67 % des CSP AB, 84 % des CSP C et 72 % des CSP DE), les différences sont nettement plus contrastées pour les autres types de lait. Ainsi, 49 % des CSP AB consomment du lait UHT, contre 25 % des CSP C et 5 % des CSP DE. Ces écarts s’inversent dès que l’on observe la consommation de lait en vrac. Elle concerne 36 % des CSP DE, contre 6 % des CSP AB.

A propos de Tetra Pak :

Tetra Pak est le leader mondial de solutions de traitement et de conditionnement de produits alimentaires. Travaillant en étroite collaboration avec nos clients et nos fournisseurs, nous proposons des produits sûrs, innovants et respectueux de l'environnement qui répondent quotidiennement aux besoins de centaines de millions de consommateurs dans le monde. Présents dans plus de 170 pays avec un effectif de près de 22 000 personnes, nous croyons en un leadership industriel responsable, générant une croissance profitable, en harmonie avec une démarche de développement durable. Notre devise « Protège ce qui est bon »™ reflète notre engagement : assurer la sécurité et la disponibilité en tous lieux des produits alimentaires que nous traitons et conditionnons. Pour plus d'informations sur Tetra Pak, visitez notre site www.tetrapak.com.